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Litter à taire
19 octobre 2013

Où il y a eu une pause...

La vie est parfois faite de moments plus ou moins compliqués. La période qui s'est ouverte l'était. Il a fallu une lunaison, comme je le dirais sur un autre blog, pour que des évolutions se mettent en place. Elles ne sont pas encore positives, loin de là. Mais souhaitons que ce seront les graines qui germeront au retour des beaux jours. Tout s'enterre pour se protéger... J'ai l'image des noix que je ramasse en quantité. A peine s'enterre-t-elle dans la terre noir et sombre, que le germe, poussé par des conditions propices, se développe pour prendre de vitesse l'hiver et être prêt à l'affronter.

Parmi les graines positives, je reprends donc les messages de ce blog en tentant d'être plus régulier cette fois. Il va donc y avoir au moins un message ce matin. Sans doute un Carnet de Paris et une scène de Il empio Macigno.

Je vais aussi publier l'un des poèmes qui devaient ouvrir mon recueil. Suivant actuellement une analyse, je suis sûr que mon psychanalyste me pousserait à l'exposer. J'avais encore un peu de mal en septembre. C'est un texte sur mon père et sur ce qu'il a imposé aux membres de sa famille. Ma vision des choses est maintenant plus sereine et je trouvais ce texte (bien qu'il s'agissait aussi de transcender les sentiments que j'avais à l'époque) très violent. Je me dis maintenant qu'il est uniquement représentatif et qu'il faut finir le deuil.

Enfin, je vais aussi ouvrir cette semaine la publication d'un texte auquel je tiens particulièrement : la Main de Dieu était sur moi. Texte très personnel, rédigé en plusieurs mois entre 1999 et 2001. Il est dédicacé à quelqu'un qui m'a été très cher. Il contient bien des éléments de la relation que j'ai vécue avec lui. Il pourrait s'appliquer à d'autres personnes désormais...

Ce qui est étonnant, c'est que ce texte aurait pu disparaître sous la forme dans laquelle je vais le donner. En effet, un problème informatique m'avait fait le perdre. Heureusement, je l'avais imprimé et gardé tous mes brouillons. Ce que l'informatique a défait, l'informatique m'a aidé à le refaire grâce à un logiciel de reconnaissance de texte. Mais il reste plein de coquilles ou de bizarreries à corriger.

Voilà, il faut écrire parfois le mort mot "espoir". Je l'écris ce matin (avec un lapsus calami, évidemment, que j'ai choisi de garder), mes forces s'intériorisent, j'extériorise mes textes.

Allez, un peu de livsglad ne nuira pas (Saurez-vous retrouver ma référence ? Les anciens amis de Lettres Modernes se le rappelleront sans doute, sans doute ma meilleure année et la plus motivante en termes intellectuels en plus).

 

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